Premières phrases du livre : Un vieil homme se tient debout face au soleil levant, en équilibre sur un fleuve de verre brisé. L’eau clapote doucement sous sa barque. Son ombre s’allonge sur les flots, crucifiée par le long manche de l’arme qu’il porte à l’épaule. Un harpon. Il a des cheveux blancs, hirsutes comme une […]
Mes Livres chroniqués pour l'état Georgie
Mes lectures se déroulant en Georgie.
Premières phrases de livre : Scarlett O’Hara n’était pas belle, mais les hommes en avaient rarement conscience une fois sous son charme, comme l’étaient les jumeaux Tarleton. Sur son visage se mêlaient trop crûment les traits délicats de sa mère, une aristocrate d’origine française de la côte de la Géorgie, et ceux, épais, de son père, […]
Premières phrases du livre : L’homme filiforme leva le camp et commença à descendre de la montagne. Il comptait ses pas, progressant de mémoire jusqu’à un éperon qui surplombait la ville dans le clair de lune. Il s’arrêta pour se reposer, souffla dans ses mains pour les réchauffer. Il remonta son col et reprit sa […]
Premières phrases — La famille, dit le vieil homme pour personne. Ses mots restèrent en suspens dans un nuage d’haleine givrée avant de se dissiper dans le brouillard du petit matin. Riley Burroughs utilisait ce mot comme un charpentier se sert d’un marteau. Parfois il ne lui donnait qu’un petit coup en douceur pour orienter […]
Premières phrases Elle se déploya lentement, contrainte de dévoiler ses couleurs, s’enroulant et se rabattant chaque fois que l’un de nous lâchait prise. Le terrain resta intraitable tant que nous n’eûmes pas posé nos quatre pintes de bière aux quatre coins, et la rivière put alors courir à travers les montagnes à deux cents kilomètres […]
» Rentré aux Etats – Unis après des années d’absence, le désopilant Bill Bryson a redécouvert ses concitoyens et les a décrits dans American Rigolos. II a aussi voulu faire un retour à la nature en s’attaquant à l’Appalachian Trail, un sentier qui serpente sur 3 500 kilomètres, du Maine à la Géorgie. Pour cette […]
Chroniques de MacKayla Lane, Tome 1 : Fièvre noire «Ma philosophie tient en quelques mots : si personne n’essaie de me tuer, c’est une bonne journée. Autant vous le dire, ça ne va pas très fort, depuis quelque temps. Depuis la chute des murs qui séparaient les hommes des faës. Pour moi, un bon faë […]